Ptilinopus
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Bon, Tok Pisin est lentement devenu la langue principale de la Papouasie et la Nlle Guinée - environ 4 millions peuvent le parler, peut-être même 5 millions - mais la grande majorité le parle comme leurs deuxième ou troisième langue. Combien le parle comme première langue me semble inconnu, mais ce serait moins que 100,000, je pense. La langue a commencé pendant l'époque des alemands dans le nord (Nlle Guinée) et les îles (Nlle Bretagne et Nlle Irlande); quelques des mots dérivent de l'allemand, d'autres d Kuonua, la langue de Tolais (habitants de la Nlle Bretagne tout près à Rabaul. Des mots des autres langues autochthones sont inclus, et le plupart de reste dérivent de l'anglais et des autre "petit-nègres".
Quant au Hiri Motu, c'est un créole dérivé de Motu, une langue parlée par les habitants de plusieur villages sur le côte dans les alentours de Port Moresby. La langue originale est parentée aux langues dites austronesiennes telles que malaie, fijien, etc. Hiri Motu utilise la même vocabulaire que Motu, mais le grammaire est beaucoup plus simple. Le peuple Motu furent des commerçants traditionaux dans l'époque pre-coloniale, qui fabriquait des bateaux avec 4 à 6 grandes pirogues liées ensembles, avec des voiles en forme de pince de crustace, nommés "lagatoi" (qui figuraient sur les premiers timbres-poste de la Papousaie). Les femmes fabriqueraient des pots céramiques, et les hommes voyageraient vers le nord-ouest dans la Golfe de la Papousaie pour les échanger contre le sago (aliment contenant beaucoup d'amidon extrait du tronc de la palme de sago). Leur langue simplifié a aussi repandu un peu même avant l'arrivée des étrangers.
Les colonialistes ont adopté ce Motu simplifié et l'ont utilisé pour l'administration au lieu d'introduire l'antécédant du Tok Pisin. C'est alors repandu en toute la Papousie.
Depuis l'indépendence, le Tok Pisin est devenue de plus en plus important, et le Hiri Motu a diminué d'importance, qui est dommage. Aujourd'hui je dirais que plus que 200,000 le parle toujours, mais combien comme première langue, je ne pourrais pas dire.
Pour comparaison, je traduirai la phrase,
"Que Dieu vous bénisse et vous protège, vous et toute votre famille."
Hiri Motu: "Dirava ese oi ia hanamoa bona ia naria, oi mai oiemu ruma taudia iboudiai."
Motu: "Dirava ese baine hanamomui bona baine gimamui, oi bona emu orea taudia iboudiai."
Tok Pisin: "Bikpela bai i amamasim yu, na lukautim yu, yu yet na ol famili bilong yu."
Quant au Hiri Motu, c'est un créole dérivé de Motu, une langue parlée par les habitants de plusieur villages sur le côte dans les alentours de Port Moresby. La langue originale est parentée aux langues dites austronesiennes telles que malaie, fijien, etc. Hiri Motu utilise la même vocabulaire que Motu, mais le grammaire est beaucoup plus simple. Le peuple Motu furent des commerçants traditionaux dans l'époque pre-coloniale, qui fabriquait des bateaux avec 4 à 6 grandes pirogues liées ensembles, avec des voiles en forme de pince de crustace, nommés "lagatoi" (qui figuraient sur les premiers timbres-poste de la Papousaie). Les femmes fabriqueraient des pots céramiques, et les hommes voyageraient vers le nord-ouest dans la Golfe de la Papousaie pour les échanger contre le sago (aliment contenant beaucoup d'amidon extrait du tronc de la palme de sago). Leur langue simplifié a aussi repandu un peu même avant l'arrivée des étrangers.
Les colonialistes ont adopté ce Motu simplifié et l'ont utilisé pour l'administration au lieu d'introduire l'antécédant du Tok Pisin. C'est alors repandu en toute la Papousie.
Depuis l'indépendence, le Tok Pisin est devenue de plus en plus important, et le Hiri Motu a diminué d'importance, qui est dommage. Aujourd'hui je dirais que plus que 200,000 le parle toujours, mais combien comme première langue, je ne pourrais pas dire.
Pour comparaison, je traduirai la phrase,
"Que Dieu vous bénisse et vous protège, vous et toute votre famille."
Hiri Motu: "Dirava ese oi ia hanamoa bona ia naria, oi mai oiemu ruma taudia iboudiai."
Motu: "Dirava ese baine hanamomui bona baine gimamui, oi bona emu orea taudia iboudiai."
Tok Pisin: "Bikpela bai i amamasim yu, na lukautim yu, yu yet na ol famili bilong yu."
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